Les spectacles

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Je propose deux spectacles au choix.

 

Les spectacles se jouent sans décors, sans sonorisation, sans électricité, ni accessoires (juste un harmonica… sac à dos oblige !). Je suis simplement assis à raconter des histoires ! J’aime pour cela un tabouret haut (type tabouret de bar) et une bouteille d’eau.

 

Je peux raconter devant une ou quatre-vingt personnes, le plus important étant que la salle soit pleine, et que chaque spectateur puisse me voir et m’entendre convenablement.

 

 

 

Présentation des spectacles

  

 

 

 

L’homme qui plantait des arbres

Public : à partir de 7 ans – Durée : 50 min. env. Cadre : salle calme, champ ou forêt.

 

Je redonne simplement le texte écrit par Jean Giono, en réponse à la question du Reader Digest  « Pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec un personnage extra-ordinaire ? » 

 

Dans cette nouvelle, Giono nous emmène sur les traces d’ Elzéard Bouffier, un berger solitaire qui passe la moitié de sa vie à planter des petits arbres sur les terres nues et fouettées par les vents des Alpes de Haute Provence. Grâce à lui, une forêt apparaît, les vents se calment, les sources se remettent à couler et c’est tout un pays qui commence à renaître.

 

Becs en l’air

Public : tout public, à partir de 5 ans – Durée : 50 min. env. Cadre : s’adapte à tous les lieux : rue, café, salle calme…

 

Une succession d’histoires d’oiseaux et d’anecdotes à plumes,  à la fois énergique, drôle et sensible. On y apprend depuis quand les hirondelles font le printemps, comment le petit troglodyte est allé négocier avec le soleil (du temps ou la planète se refroidissait), et on s’étonne avec l’homme qui aime tant se compliquer la vie.

 

 

 

Pour vous aider à choisir…

L’homme qui plantait des arbres est plutôt « posé » et poétique, destiné à un public adulte et attentif, dans un cadre calme et agréable.

Becs en l’air est un spectacle plus interactif et plus énergique, un moment de divertissement qui s’adapte plus facilement aux imprévus (comme il peut y en avoir dans un café, une rue…). Le public est plus facile à capter, dès l’âge de 5 ans.

 

 

 

Un échange

 

 

Pour jouer le spectacle dans le cadre de mon itinérance, je demande :

-          Un accueil simple, avec l’hébergement et le couvert.

-          Une centaine d’euros (minimum nécessaire pour bénéficier du régime de l’intermittence du spectacle… l’argent ne doit pas empêcher un spectacle de se faire).

-          Une vingtaine de spectateurs ou plus.

 

  

Les spectacles sont pour moi une jolie façon de rencontrer les régions que je traverse, et ceux qui y vivent. Ils m’obligent à chercher les lieux potentiellement intéressés (parfois bien cachés au milieu des champs !) et à papillonner de villages en villages pour y faire les spectacles. Les lieux de représentations sont rarement sur mon itinéraire de randonnée. Je quitte donc mon itinéraire pour aller raconter en auto-stop (un saut d’une quinzaine de km), et je reviens au même point le lendemain.

 

Je m’appuie sur des cafés, des fermes, des associations qui localement sont volontaires pour organiser une représentation. Les dates de représentation sont fixées au moins un mois à l’avance afin de laisser à l’organisateur le temps d’activer ses réseaux, de diffuser l’information (presse, tracts, affiche… aux convenances de chacun). Chaque proposition, chaque « patte personnelle » est bienvenue (envie d’une ballade contée, d’un apéro-conte, d’une buvette après le spectacle…).

 

J’ai déjà raconté par là :

08 - Revin (Lire Malgré tout) - Fumay (école du Charnois) - Signy l'abbaye (Bouches à Oreilles) -22- Tredrez Locquemeau (Café Théodore) - Tréguier (Café Librarie Le Bel Aujourd'hui) - Keraudy (L'ailleurs Café) - Erquy (Les vergers réginéens) - Lanloup (Café Epicerie Le Kerganer) - Langoat (Restaurant L'âne à thème) - Tremargat (Festival Caf'Contes) -24- Bergerac (Centre Jean Moulin) -29- Carhaix (Rencontres "Contes à tous les étages") - Brignogan (Café du port) - Huelgoat (Café librairie L'autre Rive) - Lannilis (Festival des Utopies) -34- Liausson (Association du salagou)- 48 - Florac (Ecole Ste Lucie) -53- Courcité (Festival Scènes de Coins) - St Gemmes le Robert (Ferme de l'ermitage) - Commer (Planète en fête) -56- Langonnet (Ferme de la Haye) -61- St Mars d'Egrenne (Ferme de la Bodelière) - 87 - Cussac (Bibliothèque)…

 

 

 

Paperasse

Vers le moins possible

 

- Le cachet

L’argent gagné par les représentations est versée à la Cie Le Tétras Lyre, qui le me retourne sous forme de salaires. Le travail est donc déclaré et l’organisateur reçoit une facture.

 

 

- Les frais d’auteurs (SACM, SACD…)

L’organisateur ne paie de droits d’auteurs pour aucune représentation (donc aucun papier à envoyer).

Le spectacle « Becs en l’air » est composé de mes propres textes (non déposés). Le spectacle « L’homme qui plantait des arbres », bénéficie d’une cotisation annuelle forfaitaire, grâce au soutien des ayants droits envers mon projet.

 

 

 

Boite à documents

Pour les organisateurs et la presse

 

Une présentation de mon projet prête à imprimer est disponible ici.

 

Des affiches à imprimer (cliquez sur les images pour agrandir) :

 

 

 

L’homme qui plantait des arbres

 

 

   

 

Becs en l’air

 

 

 

 

Des photos : 

 

 

 

 

 

Des documents pédagogiques sur le texte « L’homme qui plantait des arbres » à destination des écoles :

-          14 pages proposées par Dunkerque AIS (exercices de lecture, d’écriture…) – télécharger le PDF (420 ko) –

-          2 jolies pages conçues par Gallimard, avec des QCM à compléter – télécharger le PDF (1,13 Mo) –

 

 

 

 

Des petits textes de présentation :

 

Becs en l’air : Quelques-unes unes des plus incroyables histoires d’oiseaux.

 

L’histoire de Jérôme THOMAS, la vraie, c’est celle d’un piéton… un monsieur qui marche depuis janvier 2005, avec son sac à dos sur les chemins de France. Il raconte dans le café du village, la bibliothèque, la ferme-auberge… partout où la porte s’ouvre, partout où les oreilles se tendent.

Ses histoires, les fausses, celles qu’il invente et qu’il raconte, elles font parler les oiseaux, germer les sourires et pétiller les yeux. Et des fois, il paraît que même la belle étoile elle pétille ! Mais ça, c’est lui qui le dit, parce qu’il la connaît bien la belle étoile.

 

Pour inspiration, nhésitez pas non plus à consulter la rubrique « presse »  du carnet de bord.